En novembre 2025, la part des motorisations essence (y compris hybrides non rechargeables) dans les immatriculations de voitures neuves diminue par rapport au mois précédent de 3,0 points, à 58,3 %. La part des motorisations thermiques essence baisse de 1,4 point et s’établit à 18,5 %. La part des motorisations essence hybride non rechargeable recule de 1,6 point à 39,8 %– source : SDES.
La part des motorisations diesel (y compris hybrides non rechargeables) augmente de 1,6 point à 6,6 %. De même, la part des motorisations thermiques diesel s’accroît de 1,1 point, à 5,3 %. La part des motorisations diesel hybride non rechargeable progresse, mais plus légèrement, de 0,4 point, à 1,3 %. La part des ventes de voitures gaz et autres, essentiellement des bicarburations essence-GPL, se contracte de 0,3 point à 2,9 % du marché (4 000 unités).
La part des ventes de voitures électriques augmente de 1,3 point pour s’établir au niveau inédit de 25,2 % du marché. La part des ventes de voitures hybrides rechargeables croît de 0,5 point à 7,0 % du marché.
Les émissions de CO2 baissent
Les émissions moyennes de CO2 des voitures neuves baissent de 1,4 gramme, à 81,8 g/km. En novembre 2025, la part des voitures qui remplissent les critères d’attribution du « coup de pouce voitures particulières électriques » en termes de motorisation (électricité, hydrogène ou une combinaison des deux), de poids (masse inférieure à 2,4 tonnes) et de score environnemental est de 20,8 %, contre 19,8 % en octobre. La part des voitures soumises au malus écologique (CO2) est en baisse à 40,2 %.
Part des motorisations diesel et essence
dans les immatriculations de voitures neuves…
En novembre 2025, la part des immatriculations de voitures neuves essence (y compris hybrides non rechargeables) diminue de 3,0 points et s’établit à 58,3 % du marché (79 700 unités). La part des motorisations thermiques essence baisse de 1,4 point et s’établit à 18,5 % (25 300 unités). La part des motorisations essence hybride non rechargeable recule de 1,6 point à 39,8 % (54 400 unités). La part des immatriculations de voitures neuves diesel (y compris hybrides non rechargeables) augmente de 1,6 point à 6,6 % du marché (9 000 unités). De même, la part des motorisations thermiques diesel s’accroît de 1,1 point, à 5,3 % (7 200 unités). La part des motorisations diesel hybride non rechargeable progresse, mais plus légèrement, de 0,4 point, à 1,3 % (1 800 unités).
Cumulées sur les onze premiers mois de l’année, les ventes de voitures essence (y compris hybrides non rechargeables) diminuent, passant de 1 000 600 à 968 400 unités entre 2024 et 2025. Les ventes de voitures diesel (y compris hybrides non rechargeables) baissent de 126 000 à 85 800 unités entre les onze premiers mois de 2024 et ceux de 2025. En part de marché, sur les onze premiers mois, la motorisation essence (y compris hybrides non rechargeables) augmente de 1,3 point à 65,2 % entre 2024 et 2025. Sur les mêmes périodes, le diesel baisse quant à lui de 2,3 points à 5,8 %.
Part des voitures hybrides rechargeables eg éléctriques
dans les immatriculations de voitures neuves

En novembre 2025, la part des immatriculations de voitures neuves hybrides rechargeables est en hausse de 0,5 point à 7,0 % (9 600 ventes). Sur les onze premiers mois de 2025, 92 300 voitures hybrides rechargeables ont été immatriculées, contre 122 000 sur la même période en 2024. Leur part de marché décroît de 1,6 point et s’établit à 6,2 %.
En novembre 2025, avec 34 500 immatriculations, la part de marché des voitures électriques neuves augmente de 1,3 point pour s’établir au niveau inédit de 25,2 % du marché. Cette hausse fait suite au lancement le 30 septembre 2025 du dispositif de leasing social, qui consiste en une aide à la location dans le cadre de contrats d’une durée d’au moins 3 ans et dont les mensualités n’excèdent pas 200 € par mois, sous conditions de revenus. Sur le même mois, 3 100 véhicules utilitaires légers (VUL) électriques neufs ont été immatriculés. Leur part de marché est quasi stable à 10,5 %.
Avec 3 300 immatriculations en novembre 2025, la part des véhicules à deux ou trois roues et quadricycles électriques augmente de 1,4 point à 19,8 %.
Sur les onze premiers mois de 2025, 288 600 voitures électriques neuves ont été immatriculées, contre 265 600 sur la même période en 2024. Leur part de marché s’accroît de 2,5 points à 19,4 % entre les onze premiers mois de 2024 et ceux de 2025. Avec 31 000 unités, la part de marché des VUL électriques s’établit à 9,3 % sur les onze premiers mois de 2025 contre 7,0 % sur la même période en 2024.
Les ventes de véhicules à deux ou trois roues et quadricycles électriques s’établissent à 39 600 unités sur les onze premiers mois de 2025 contre 42 400 sur la même période en 2024. Leur part de marché progresse de 1,3 point à 15,8 % entre les onze premiers mois de 2024 et ceux de 2025.
Émissions moyennes de CO2
et bonus écologique !
• Pour rappel : au 1er mars 2020, la norme WLTP de mesure des émissions de CO2 des voitures particulières neuves a succédé à la norme NEDC, en vigueur depuis 1973. Avec la nouvelle norme, les émissions moyennes de CO2 des voitures neuves sur les mois de janvier et février 2020 sont estimées supérieures de 24 % environ à celles observées avec l’ancienne norme NEDC.
En novembre 2025, les émissions moyennes de CO2 des voitures neuves diminuent de 1,4 gramme à 81,8 g/km. Cette baisse est notamment liée à la hausse de la part des voitures électriques dans les immatriculations neuves. Les émissions moyennes de CO2 des véhicules utilitaires légers neufs augmentent eux, à 161,3 g/km en novembre 2025 contre 159,4 g/km en octobre 2025. À compter du 1er juillet 2025, le dispositif Coup de pouce « Véhicules particuliers électriques » succède au bonus écologique, avec l’objectif maintenu de faciliter l’acquisition d’un véhicule électrique neuf par les ménages. Les règles d’attribution sont inchangées mais le montant des aides est un peu plus élevé et le financement assuré dans le cadre des certificats d’économie d’énergie (CEE). En novembre 2025, la part des voitures qui remplissent les critères d’attribution du « coup de pouce voitures particulières électriques » en termes de motorisation (électricité, hydrogène ou une combinaison des deux), de poids (masse inférieure à 2,4 tonnes) et de score environnemental est de 20,8 %, contre 19,8 % en octobre. Cette hausse est essentiellement due à l’augmentation de la part des voitures électriques dans les immatriculations neuves. La part des voitures soumises au malus écologique (CO2) baisse de 1,0 point à 40,2 %.


