Toutes deux étudiantes en droit, Alice & Éva pratiquent leur mobilité de manière totalement différente selon qu’elles sont en Île de France, en province ou encore à l’étranger.
– Pour Éva, c’est la pratique quotidienne du métro sur Paris, le train puis la voiture (elle a son permis) pour la Bretagne et en vacances, elle privilégie la marche : « pour découvrir les paysages ou bien alors les transports en commun. » Depuis peu, elle a découvert la location de scooters électriques et c’est son moyen de locomotion lorsqu’il fait beau. Sinon, elle utilise le train pour ses déplacements longs et le bus et le métro pour les déplacements courts. Et pour gérer tout cela, son outil de prédilection reste le portable. Enfin, étant étudiante, son critère principal pour le choix de ses transports demeure économique mais elle privilégie également les transports en commun de façon à prendre également en compte l’environnement.
– Alice, se rend tous les jours au travail en transports en commun. Elle aussi va régulièrement en week-end en Bretagne ou dans la Sarthe, une fois par mois environ et deux fois par an à Londres en Eurostar. Quant aux voyages en vacances, ils se font plutôt en voiture (elle n’a pas son permis) ou en avion selon la destination. Elle avoue « ne pratiquer ni le covoiturage ni le bus, car souhaite éviter les transports routiers sauf en famille ou avec des amis. »
Toutes deux s’accordent à dire que le réseau développé en Île de France a énormément progressé depuis 5 ans (métro, RER, Transilien). Seul regret , c’est sur les trajets Paris Banlieue ou banlieue à banlieue. En outre, le renforcement des trajets en TGV leur permettent de se rendre. Quant aux trottinettes électriques et les vélos ils n’ont pas leur faveur pour des raisons de sécurité et d’absence d’infrastructures spécifiques dédiées.